(Jour 22- Ile sainte-marie)
Afin de profiter des ressources de l'ïle, ce matin je suis parti en quête d'une noix de coco à déguster en guise de petit déjeuner. Je me suis donc tourné vers la minuscule épicerie pour demander si il proposait ce type de produit. Il s'avéra que non, mais que la situation pouvait être modifiée rapidement. Sur ce, le vendeur (gérant je pense), est monté au premier cocotier venu (juste à côté de son épicerie) avec une machette et à commencé à donner de bons coups sur les noix de coco se trouvant au sommet de l'arbre. Bientôt quelques noix se retrouvèrent sur le sol. Un des noix me fut coupée et le jus me remplit une bouteille en plastique. En voici le résultat, le tout pour des clopinettes.
Aujourd'hui, farniente. Pas de vélo, de voiture, de bruit. Non, nous restons notre paradis que je redécouvre à chaque fois que je sors de notre bungalow. Des cocotiers ont dessinés une porte qui est tentant de franchir. Forcément je n'ai pas pu resister à l'appel de l'eau bien longtemps !
Comme une vache, je regarde les pirogues passer, je regarde les bleus de la mer. Pas de bobo la, pas comme le rouge de mes coups de soleil pris la veille... ! De ces bleus qui ne vous lassent pas. Des bleus qui vous reconfortent et vous font garder le sourire.
De baignade en baignade, la fin du jour arrive. Le vent se lève, les rayons du soleil devient moins fort. Plonger dans l'eau devient difficile. Il est temps de regarder la nature de la plage.